Ode a la mer

Majestueuse étendue azurée
Tu promènes tes reflets ondulés
Tes cheveux blancs virevoltants au vent
Tes soupirs languissants ont un air reposant

Ton âge avancé ne peut etre révélé
Mais ta vigueur toujours renouvellée
Transporte pêcheurs, soldats ou marchands
Combien de femmes as tu laissées en tourment

Reine indomptée, tes louanges sont chantées
De troubadours tes histoires sont contées
D'hommes téméraires, amoureux ou insolents
Qui comme moi s'éprirent de ton coeur ardent

Agonie

Tels les esprits perdus
Rejoignant le puit de l'Enfer
Marchant vers une vie de misère
Errent nos âmes meurtries et nues

Ton sourire me manque
Ta souffrance me déchire
Chaque minute de vient pire
Et détruit mon âme de saltimbanque

Dans ma douleur infinie
J'envie le comdamné à mort
Qui connait l'issue de son sort
Ma vie désormais est une longue agonie

Déchirure

Tel un éclair déchirant la nuit
Tu es apparue dans ma vie
Ton sourire m’a ébloui
Tes grands yeux m’ont séduit

Oh ma Princesse de Gizeh
Dans mon cœur tu as semé l’amour
Et l’a fait grandir jour après jour
Pour toi mon âme s’est embrasée

Épris d’une passion dévorante
Nos raisons ont un instant oublié
Les obstacles qui nous séparaient
Et créés cette douleur lancinante

Désormais mon cœur désarmé
Tel le condamné à mort attend
Ce qui sera son ultime moment
Quand par la mort il sera délivré

Mon Enfance Perdue

Ma mémoire résonne
De joyeux éclats de rire
Et ma vie monotone
Voit mon cœur dépérir

Bacs à sable encerclés
Par des tours de couleurs
Amourettes de lycée
Vestiges de temps meilleurs

Ces images du passé
Pleines de joies de vivre,
De ma France adorée,
Me redonnent le sourire

Désillusions

Mon coeur saigne
D’une invisible blessure
Dans la mélancolie baignent
De profondes meurtrissures

Inéluctable le temp s’écoule
Et les amours passent et trépassent
Perdu, seul au milieu de la foule
Devant mes yeux mes souvenirs repassent

Mieux vaut-il mourir,
Qu’un Amour impossible ?
Chaque seconde où je respire
Émiette davantage mon cœur trop sensible